SIRENE DES SABLES

30/10/2014 17:28

 11 FEMMES, 11 AUTEURES, 11 CONGOLAISES ECRIVENT, RIENT, PLEURENT SUR LE THEME DE LA SORCELLERIE.

L'une après l'autre, avec leur plume, leurs souvenirs, leur vécu, peut-être, elles abordent ce tabou pour nous rappeler comment cela fonctionne chez nous et comment ces croyances bousculent toute une société.

 
Elles écrivent des nouvelles, de la poésie, des romans, des essais, des pièces de théâtre. Des oeuvres que les lecteurs dévorent. Sous l’initiative de Marie-Léontine Tsibinda et de Marie-Françoise Moulady Ibovi, soutenues par Pénélope-Natacha Mavoungou-Pemba, elles se sont réunies autour d’un thème séduisant et d’actualité : la sorcellerie.

Lydia Évoni, Assia Printemps Gibirila, Liss Kihindou, Binéka Danièle Lissouba, Evelyne Mankou, Pénélope-Natacha Mavoungou-Pemba, Marie-Françoise Moulady Ibovi, Gilda Rosemonde Moutsara-Gambou, Huguette Nganga Massanga, Jussie Nsana, Marie-Léontine Tsibinda.

Ces onze écrivaines congolaises talentueuses nous invitent dans l’univers de la sorcellerie. Notamment au Congo-Brazzaville, dans leur
pays d’origine, mais aussi en France et au Canada où certaines d’entre elles ont élu domicile. Cette sorcellerie qui transcende aussi le lieu d’habitation jusqu’à investir la toile, fait aujourd’hui partie des sujets les plus chauds qu’on ne saurait éluder. Sirène des sables est donc le fruit de la rencontre de ces onze écrivaines du Congo-Brazzaville qui mettent en avant des textes de création sur le thème de la sorcellerie,
cette espèce de pacte entre le démon, le sorcier et le monde des vivants.

Thème bizarre, voire effrayant, dira-t-on, mais les femmes ont répondu avec leur sensibilité, leur talent, leur imagination, pour certaines sans
doute leur vécu. Les nouvelles sont drôles, dramatiques, éblouissantes, troublantes, bouleversantes, jamais ennuyeuses.
Les onze femmes mettent un projecteur sur le monde invisible et ténébreux des sorciers, magiciens, féticheurs- ngangas, marabouts,
guérisseurs, et autres ndokis…
Onze femmes et donc onze façons différentes d’évoquer ce thème universel qui, cependant au Congo-Brazzaville, porte plusieurs appellations : Kindoki, karachika, ndoki, mangas…
Une douzième femme s’est ajoutée au groupe : Arlette Chemain. Accompagnatrice de la création littéraire congolaise depuis plus de
trente ans.

Elles écrivent des nouvelles, de la poésie, des romans, des essais, des pièces de théâtre. Des oeuvres que les lecteurs dévorent. Sous l’initiative de Marie-Léontine Tsibinda et de Marie-Françoise Moulady Ibovi, soutenues par Pénélope-Natacha Mavoungou-Pemba, elles se sont réunies autour d’un thème séduisant et d’actualité : la sorcellerie.

Lydia Évoni, Assia Printemps Gibirila, Liss Kihindou, Binéka Danièle Lissouba, Evelyne Mankou, Pénélope-Natacha Mavoungou-Pemba, Marie-Françoise Moulady Ibovi, Gilda Rosemonde Moutsara-Gambou, Huguette Nganga Massanga, Jussie Nsana, Marie-Léontine Tsibinda.

Ces onze écrivaines congolaises talentueuses nous invitent dans l’univers de la sorcellerie. Notamment au Congo-Brazzaville, dans leur
pays d’origine, mais aussi en France et au Canada où certaines d’entre elles ont élu domicile. Cette sorcellerie qui transcende aussi le lieu d’habitation jusqu’à investir la toile, fait aujourd’hui partie des sujets les plus chauds qu’on ne saurait éluder. Sirène des sables est donc le fruit de la rencontre de ces onze écrivaines du Congo-Brazzaville qui mettent en avant des textes de création sur le thème de la sorcellerie,
cette espèce de pacte entre le démon, le sorcier et le monde des vivants.

Thème bizarre, voire effrayant, dira-t-on, mais les femmes ont répondu avec leur sensibilité, leur talent, leur imagination, pour certaines sans
doute leur vécu. Les nouvelles sont drôles, dramatiques, éblouissantes, troublantes, bouleversantes, jamais ennuyeuses.
Les onze femmes mettent un projecteur sur le monde invisible et ténébreux des sorciers, magiciens, féticheurs- ngangas, marabouts,
guérisseurs, et autres ndokis…
Onze femmes et donc onze façons différentes d’évoquer ce thème universel qui, cependant au Congo-Brazzaville, porte plusieurs appellations : Kindoki, karachika, ndoki, mangas…
Une douzième femme s’est ajoutée au groupe : Arlette Chemain. Accompagnatrice de la création littéraire congolaise depuis plus de
trente ans.